L'histoire du tatouage .... Le tatouage c’est aussi l’histoire
Loin d’être une simple lubie des temps modernes, la pratique du tatouage fait partie intégrante de l’humanité depuis plus de 5000 ans et cela de par le monde.
Il ne s’agit pas non plus que d’une simple façon de « décorer » sa peau mais plutôt, et le plus souvent, d’une façon de transcrire graphiquement sa propre histoire sur sa propre peau. Et de manière indélébile. Il s’agit donc d’un moyen culturel, universel, d’un art corporel aux symboliques très larges et diverses. C’est aussi un médium de communication visuel simple et durable dans le temps. Un médium évolutif, permettant d’afficher une appartenance, des valeurs, des messages, des croyances, des joies ou des souffrances …
L'histoire du tatouageLe tatouage fait partie intégrante de l’humanité
C’est en 1991, qu’à la suite du recul d’un glacier Autrichien qu’a été découvert la momie humaine d’un pasteur du Néolithique , baptisé Ötzi ( lieu où il a été découvert). Il aurait trouvé la mort il y a plus de 5000 ans, dans cette région glacière où sa congélation a permis une qualité de conservation tout à fait spectaculaire.
Pas moins de 61 tatouages ont été découverts sur le corps de Ötzi. Ils font partis des plus anciens documentés.
En Sibérie également des corps datant de plus de 2500 avant JC ont été retrouvés portant également des tatouages ; dans la culture égyptienne depuis la XI è dynastie (2160 à 1994 avant JC) la pratique du tatouage était certainement liée à des activités médicinales.
En Chine, au Japon et en Inde c’est entre 2000 et 1000 avant JC que la pratique du tatouage gagne de l’importance.
Au Japon le tatouage prend rapidement une connotation punitive, il sert à marquer les criminels, et devient aussi un des pires châtiments. Mais les Yakuza, mafia nippone utilisera ensuite le tatouage pour marquer le courage, la loyauté pour le groupe.
A l’ouest, pour les cultures américaines au sens large (du Canada à l’Amérique du sud) le tatouage prend une symbolique religieuse et magique.
Il existe aussi des tatouages qui marquent l’appartenance à une ethnie comme en Polynésie ou sur l’île de pâques, avec pour certains des symboliques associés à la guerre ou à l’érotisme.
Quel que soit sa forme, son époque ou son lieu, le tatouage est donc une pratique ancestrale d’art corporel qui remonte bien aux cultures préhistoriques et qui aujourd’hui encore s’en inspire souvent.
De façon plus contemporaine, le tatouage est ensuite devenu l’un des moyens d’expression privilégié des navigateurs et des marins, ainsi que des corps militaires ou des tribus urbaines plus ou moins criminelles.
Des pouvoirs de guérisons, à l’identification criminelle ,en passant par divers mythes et croyances, l’appartenance à un groupe, le tatouage est sans aucun doute la forme artistique et culturelle la plus durable que l’humanité ait développé de façon ininterrompue.
Le tatouage manière esthétique de décorer sa peau
Pour beaucoup le tatouage est devenue aujourd’hui une simple manière esthétique de décorer sa peau. Mais comme nous venons de le voir le tatouage est beaucoup plus que cela, d’une façon ou une autre un tatouage est une forme de langage, de message et de symbolique pour qui le porte. Et c’est ce qui explique souvent le besoin à un moment de s’en détacher, de le faire évoluer, ou de s’en séparer.
Bien qu’il se trouve sur la partie la plus superficielle de notre corps, sur notre peau, il est bien visible aux yeux de tous et permet en réalité d’explorer les profondeurs de l’âme, du genre humain, de l’histoire de l’humanité.
L'art du tatouage
N’oublions pas que la modernité a transformé la majorité des arts ou moyen d’expressions artistiques et culturelles, les rendant très rapides et facile l’accès, immédiats, éphémères… de la gravure sur marbre on est passé à l’imprimante 3D, la composition musicale se fait maintenant sur ordinateur avec des voix digitalisées, les photos qui il y a encore une centaines d’années représentaient la gravité, la solennité d’ un moment précieux figé dans le temps pour l’éternité, s’imprimaient, s’encadraient, se suspendaient au mur sont devenus avec le numérique tellement abondants, volatils, stockés dans l’indifférence de notre disque dur, les livres ont troqués le papier pour se télécharger sur tablette puis s’effacer alors qu’ils trônaient fièrement sur les étagères de nos bibliothèques comme un objet archive de notre culture et nos goûts littéraires, les films se regardent en streaming, la musique également, et se consomment allègrement sans début ni fin, avec boulimie et sans le respect qu’ils méritent, un album matérialisé pas un disque, une cassette, qui s’écoutait du titre 1 au titre 12 qu’il fallait avoir la patience de mériter racontait une histoire, avait une âme, une unité qui s’est volatilisée avec l’utilisation des Deezer et autre Spotify ….
Bref tout cela pour dire qu'à l’heure où la consommation et la création culturelle et artistique deviennent de plus en plus fugaces, éphémères, volatiles, l’art du tatouage, se démarque par son intemporalité, sa durabilité, pour s’inscrire dans la postérité.
Le tatouage connait aujourd’hui un véritable essor dans la culture occidentale, en contraste donc avec les habitudes et type de consommation actuel du « rapide » , de l’immédiat, du fugace. Des Maitres Tatoueurs émergent en tant qu’artistes reconnus avec leur propre signature.
Les tatouages les plus ancestraux aux plus modernes, se rejoignent , fusionnent, ils sont mélangés, relus, définition même de " l'Histoire » …
Il est important de connaître l’histoire de la pratique du tatouage pour en apprécier la valeur, ce peut être interprété par des néophytes comme un simple « dessin » sur la peau, parfois également souvent jugé pour son esthétique, mais c’est en réalité la plupart du temps bien plus , c’est une affirmation courageuse de soi, une déclaration d’intention, un livre ouvert sur le caractère, les désirs, l’histoire de la personne.
C’est pour cela que choisir un tatouage n’est pas chose facile, le tatoueur également, celui qui saura transcrire le message de notre histoire avec fidélité.
Pourquoi choisir
le détatouage laser médical
Bienvenue au Cabinet de détatouage laser du Dr Alexandra
Colombo Turell, spécialiste en esthétique du visage et de la peau.
Foire aux questions
Question 1 sur le détatouage
Postremo ad id indignitatis est ventum, ut cum peregrini ob formidatam haut ita dudum alimentorum inopiam pellerentur ab urbe praecipites, sectatoribus disciplinarum liberalium inpendio paucis sine respiratione ulla extrusis, tenerentur minimarum adseclae veri, quique id simularunt ad tempus, et tria milia saltatricum ne interpellata quidem cum choris totidemque remanerent magistris.
Circa hos dies Lollianus primae lanuginis adulescens, Lampadi filius ex praefecto, exploratius causam Maximino spectante, convictus codicem noxiarum artium nondum per aetatem firmato consilio descripsisse, exulque mittendus, ut sperabatur, patris inpulsu provocavit ad principem, et iussus ad eius comitatum duci, de fumo, ut aiunt, in flammam traditus Phalangio Baeticae consulari cecidit funesti carnificis manu.
Question 2 sur le détatouage
Inter haec Orfitus praefecti potestate regebat urbem aeternam ultra modum delatae dignitatis sese efferens insolenter, vir quidem prudens et forensium negotiorum oppido gnarus, sed splendore liberalium doctrinarum minus quam nobilem decuerat institutus, quo administrante seditiones sunt concitatae graves ob inopiam vini: huius avidis usibus vulgus intentum ad motus asperos excitatur et crebros.
Non ergo erunt homines deliciis diffluentes audiendi, si quando de amicitia, quam nec usu nec ratione habent cognitam, disputabunt. Nam quis est, pro deorum fidem atque hominum! qui velit, ut neque diligat quemquam nec ipse ab ullo diligatur, circumfluere omnibus copiis atque in omnium rerum abundantia vivere? Haec enim est tyrannorum vita nimirum, in qua nulla fides, nulla caritas, nulla stabilis benevolentiae potest esse fiducia, omnia semper suspecta atque sollicita, nullus locus amicitiae.
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